Entrées, hors-d’œuvre, plats et desserts, le repas est englouti, savouré, slurpé et miamiamé ! Un petit café… et après ?

Parce qu’il n’est finalement « pas si tard », parce qu’il reste de la place pour dormir à la maison, parce que la compagnie est agréable, pourquoi ne pas se lancer sur un petit jeu pour conclure cette belle soirée ?

Allez, pour prolonger les jolies soirées, voici 3 jeux qui pourraient bien vous emmener au bout de la nuit !

Codenames

« Encore Codenames !? » Bah oui, Codenames. Plus que jamais, Codenames ! Parce que Codenames c’est Codenames, et vous allez découvrir que plein de gens ne connaissent pas encore Codenames. Et franchement, pour se faire une soirée ludique réussie, Codenames est un pur bonheur à jouer. Codenames, c’est un jeu dans lequel deux équipes s’affrontent pour deviner des listes de mots.

Le but du jeu, évidemment, est de regrouper plusieurs mots de votre liste sous une même idée, afin d’en faire deviner plusieurs en un même tour de jeu. En revanche, attention à ne pas faire deviner des mots de la liste de l’équipe adverse ou, pire encore, le mot assassin qui vous ferait immédiatement perdre la partie ! Décliné en versions images, co-op ou Disney, Codenames c’est toujours de grands moments de fun et de tension pour tenter de lire dans l’esprit de vos coéquipiers !

Two Rooms & a Boom

Bon, normalement celui là je ne devrais pas vous en parler parce qu’il est au bord de la rupture. mais sérieusement : IL VOUS LE FAUT. Two rooms & a Boom, c’est le genre de jeu à côté duquel on passe en se disant qu’on n’y jouera jamais, et on reçoit une invitation pour un mariage ou une fiesta deux jours plus tard. Et en vrai, c’est un jeu incroyable pour les non-joueurs, qui permet de jouer jusqu’à 30 joueurs. Tout ce dont vous avez besoin, c’est de deux pièces différentes (ou d’une GRANDE pièce avec deux coins), afin que des groupes de joueurs puissent papoter.

L’idée est la suivante : deux équipes, rouge et bleue, et des cartes qui indiquent le rôle de chaque joueur. A chaque round, les joueurs se rencontrent, discutent, évoquent leurs rôles cachés, dévoilent qui ils ont ou mentent effrontément. A intervalles réguliers, des joueurs sont échangés d’un groupe à l’autre. A la fin de la dernière manche, si le poseur de bombe est dans la même pièce que le Président, les rouges gagnent. Avec des parties intenses qui ne prennent que quelques minutes, Two Rooms & a Boom est un jeu incroyable pour toute soirée festive qui réunit plus de 10 invités. Un incontournable du jeu d’ambiance !

Time Bomb

Et puisque nous sommes dans la thématique de la bombe qui va – peut-être – exploser, c’est aussi un chouette moment pour ressortir Time Bomb, l’un des plus célèbres Mini-Games, dans lequel il faut tenter de lire dans le jeu de ses adversaires pour les embrouiller. Là aussi, le jeu se répartir en deux équipes, Team Moriarty contre Team Sherlock.

A leur tour, les joueurs doivent défausser une carte du jeu d’un adversaire pour désamorcer, fil après fil, une bombe sur le point d’exploser. Au début de chaque manche, les joueurs savent s’ils sont en possession de la bombe ou non, mais pas son emplacement exact dans leur jeu. Les Moriartys feront tout pour que la bombe soit activée, les autres feront tout pour la désamorcer. La question est : pouvez-vous faire confiance à vos voisins de table ?

« Piège Obscur, parce que j’aime bien passer Noël dans une cave »

Les festivités vous saoulent ? Un trop plein de dinde vous empêche de trouver le sommeil ? Les bougies vous collent le spleen ? Alors organisez votre contre-soirée avec une petite partie solo de l’exceptionnel Piège Obscur, un jeu dans lequel vous devez trouver la sortie d’un dédale souterrain, plongé dans l’obscurité.

Mettez la musique d’ambiance qui va bien, mettez quelques bougies autour du plateau, et laissez-vous aspirer par ce fantastique piège machiavélique ! Votre survie, au coeur de la nuit, ne dependra que de la vacillante flamme d’une bougie…

Et voilà, quelques idées pour prolonger la nuit ! Mais déjà les premières lueurs du jour apparaissent au loin. Se pourrait-il que l’on soit demain ?